Jusqu’à la seconde guerre mondiale, chaque ferme, chaque foyer, avait son cochon. Et l’habitude était de le tuer à la maison. René resta fidèle à cette tradition jusque dans les années 1970. Il en achetait un certain nombre pour les accommoder dans l’esprit d’une charcuterie artisanale de village. Il y eut d’abord le marché de Peyrehorade pour la commercialisation, puis, vite après, les halles de Bayonne.


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